Le tricot-graffiti

Halte à la grisaille ! Bienvenue aux couleurs ! L'espace public devient le terrain de jeu insolite d'adeptes du tricot ou du yarn bombing. Un arbre, un poteau, un vélo, une grille d'école, un lampadaire... recouverts de laine ? C'est possible à Montréal ! Après une phase d'étonnement et d'amusement, j'ai cherché à qui l'on devait cette idée pleine de fantaisie. Ce projet est rendu possible grâce à l'action individuelle ou groupée de tricoteurs à la fibre… artistique. Objectif ? Décrocher le sourire des passants en embellissant le mobilier urbain.

En 2013, plusieurs collectifs faisaient parler d'eux à Montréal parmi lesquels Maille à Part et Les Ville-Laines. Leurs blogues respectifs présentaient leurs œuvres et leurs motivations teintées de militantisme et de pacifisme.

''Insoumises", une installation du collectif Maille à Part.

''Insoumises", une installation du collectif Maille à Part.

En juillet 2013, les Ville-Laines ont transformé, avec leurs doigts de fées, 50 lampadaires de la rue Saint-Denis.

En juillet 2013, les Ville-Laines ont transformé, avec leurs doigts de fées, 50 lampadaires de la rue Saint-Denis.

À Montréal, le tricot-graffiti fait des émules et égaye le quotidien des gens.
À Montréal, le tricot-graffiti fait des émules et égaye le quotidien des gens.
À Montréal, le tricot-graffiti fait des émules et égaye le quotidien des gens.
À Montréal, le tricot-graffiti fait des émules et égaye le quotidien des gens.
À Montréal, le tricot-graffiti fait des émules et égaye le quotidien des gens.
À Montréal, le tricot-graffiti fait des émules et égaye le quotidien des gens.
À Montréal, le tricot-graffiti fait des émules et égaye le quotidien des gens.
À Montréal, le tricot-graffiti fait des émules et égaye le quotidien des gens.
À Montréal, le tricot-graffiti fait des émules et égaye le quotidien des gens.
À Montréal, le tricot-graffiti fait des émules et égaye le quotidien des gens.
À Montréal, le tricot-graffiti fait des émules et égaye le quotidien des gens.

À Montréal, le tricot-graffiti fait des émules et égaye le quotidien des gens.

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À propos
Ariane Dadier

Depuis mon arrivée à Montréal en juin 2012, je prends des instantanés insolites de la ville. Toutes les photos de ce site sont créditées © Ariane Dadier #montrealstreetart

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