Des souliers et espadrilles cloués sur un pylône de la rue Saint-André... L'œuvre d'un cordonnier mal chaussé, d'un calcéologiste fétichiste, d'un artiste déjanté ?
Coucou Ariane,<br />
En fait, c'est beaucoup moins romantique que ça. Dans la plupart des cas, il s'agit plutôt d'une pratique des gangs de rue qui marquent ainsi leur territoire. :-(<br />
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